L’idolâtrie se cache derrière les meilleures convictions.

La trinité

laque automobile sur bois et limites en laiton B.van Baalen

A l’occasion de l’anniversaire de la réforme religieuse de Luther, le site catholique romain « Aletheia » explique à ses « followers » les 7 différences entre catholiques et réformés. Ils le font sur la base des dogmes admis au cours des siècles et répertoriés comme « condition de la foi » romaine à différents moments de l’histoire.

L’ouverture de l’institut de formation professionnelle de théologie protestante – associée aussi à « Eucharistein » mouvement catholique plutôt conservateur – défend une lecture « sérieuse » des évangiles et de la tradition chrétienne « de toujours » pour reprendre une qualification qui rassure les inquiets de l’évolution des cultures.

Ce qui m’a toujours intéressé, ce sont les raisons qui ont été à l’origine des mythes.

Ceux de la Grèce sont assez clairement pris pour ce qu’ils sont : Une expression de la nécessité de répondre à des questions existentielles générales avec une incidence particulière, comme celui « Œdipe » bien expliqué par Freud – ou plus récents comme « le Petit Chaperon Rouge », actualisé par les prédateurs sexuels. Personne ne « croit » à ces figures symboliques ou mythologiques. Elles sont pourtant pertinentes pour comprendre des situations, et pour trouver des solutions pour mieux vivre.

Dans son édition du 1er novembre, le journal « LE TEMPS » publie une inerview de Boris Cyrulnik très intéressante sur le « besoin de croire en Dieu »(https://www.letemps.ch/monde/2017/10/31/boris-cyrulnik-religions-necessaires-socialiser-ames)

Une réaction de lecteur du journal « Réformés » déclare que quand la Virginité de Marie, la Naissance de Jésus, ses miracles, sa résurrection sont mis en doute, cela provoque l’effondrement des églises…1

Notre différence d’appréciation des mêmes sujets serait l’essence de notre incompatibilité entre Protestants et Catholiques (romains).

Si notre « foi » ne tient qu’aux textes de la bible et des dogmes de la tradition, à la performance des rituels, et que nous y croyons plus qu’aux « paroles » du Rabbi de Nazareth, se pose la question de la perception du monde dans lequel nous vivons, et des convictions qui nous animent. Le créationnisme en est un des effets collatéraux.

Quand j’ai cinq ans, la grand mère est mangée par le loup, et elle m’annonce qu’en tirant la bobinette la chevillette cherrera : J’y crois. Quand on me dit que Dieu est Père, Fils et St Esprit, « trois en un », comme le détergent de la machine à laver, pas de problème.

Devenu adulte, je fais la différence : Avec Bettelheim, je comprend que le rôle du prédateur incarné par le loup est adéquat pour mettre en évidence le risque des « mauvaises occasions / mauvaises rencontres ». Je comprend que pour expliquer l’importance que représente « Jésus de Nazareth » – Le Fils. Il est fondamental que cela ne puisse venir que d’une « instance supérieure » – Le Père. Je suis capable de l’exprimer ou de l’assumer moi aussi avec la force reçue en en faisant la découverte – Le Saint Esprit. Le terme « Trinité » est donc le mot codé pour expliquer toutes une série de concepts « spirituels ».

L’idée de se retrouver autour du repas pascal ritualisé pour se souvenir de ce qui avait été vécu avec Jésus de Nazareth est fondamental… Très vite, sa mort tragique a été mise en rapport avec le sacrifice rituel de l’agneau pascal. La communauté chrétienne en a fait un « message » qui communiquait le risque qu’il y avait à aller au bout de ses convictions, contre les traditions et contre le pouvoir, en l’occurrence romain, de l’époque. C’est ce que rappelle l’Apocalypse, très terre à terre.

Les divergences doctrinales sur le pain/hostie et le vin/fruit de la vigne ont été des sujets de controverses interminables, et ce n’est pas fini. Là encore, il faut se souvenir des contextes :
Les paroles de l’institution de la Cène/Eucharistie transcrites dans la Bible sont postérieure à leurs apparitions d’usages : Comment rendre « vivante » cette coutume sociale du repas communautaire en présence du « Christ », sans en désigner les ingrédients comme des éléments constitutifs de la présence de Jésus, qui recommandait de le faire en toutes occasions.

Question d’enfant : « Il et où Jésus ? » réponse : « Il est là ! », « OK je ne le vois pas … »… « Il est dans le pain et dans le vin » qu’il nous recommande de partager… « Mais c’est toujours du pain et du vin non ? » « Ben oui, mais non ! »

D’où la nécessité de faire du pain autrement : l’hostie, et de ne plus partager le vin, pour éviter les questions oiseuses.

« Croyez-vous en la présence réelle du corps et du sang du Christ dans l’eucharistie ? »

La réponse permettait sous la torture de sauver sa peau. Et surtout donnait le pouvoir de vérifier la sincérité de l’accusé. Nous savons que ce n’est pas le cas !

Et là nous retrouvons la question du « mythe symbolique » en contradiction avec « la réalité objective » : Au 10e et 16e siècle, et encore aujourd’hui pour « Aletheia », cette question est au cœur du besoin de se compter, pour ne pas parler de territoire. Le schisme Orient Occident, et la réformation, en vertu du principe « Le souverain impose la religion à son territoire »2 ont entraîné un raidissement des interprétations « Que tous ceux qui croient comme moi, se rallient à mon panache blanc ! ».

Je crois à la présence réelle de Jésus de Nazareth dans la communauté qui célèbre la Cène/Eucharistie. Je sais en même temps que ce n’est qu’un mélange de farine et d’eau et une goutte de vin, qui donne du sens à ce que je suis en train de vivre. Il y a longtemps que plus personne ne croit aux manipulations de magiciens du prêtre qui transformerait ces espèces en protéine et en hémoglobine : Cela ferait de nous des anthropophages… Les ecclésiastiques moins que personne.

Si nous entendons que Dieu est l’ordonnateur du vivant, il aurait conduit/offert celui dont on dit qu’il est son fils « en sacrifice sur la croix ». Quelques années après la mort de Jésus sur la croix des criminels, cela s’est compris comme une évidence3.

Si les croyants souhaitaient faire admettre que le message de Jésus est plus important que son destin terrestre, c’est une nécessité. La « résurrection » est indispensable pour faire passer l’idée qu’un monde plus juste reste possible, malgré le scandale de la croix. Les « apparitions » de Jésus attesteront qu’il « est présent parmi nous, jusqu’à la fin du monde ». Une autre manière de dire la permanence de la pertinence de ses propos. La « trinité » en fait « Dieu avec nous ».

Revenons à l’élaboration théologique qui est à l’origine des textes bibliques, Les auteurs ont mis en parallèle le sacrifice du Temple, et la tradition du bouc émissaire.

Les deux pratiques performées en public et collectivement dans la tradition juive libéraient les tensions de la communauté. C’était dans un contexte religieux où l’action liturgique4 était le lien (religio) commun.

Les sacrifices étaient la norme pour satisfaire les divinités qui protègent ceux qui en font l’offrande.

Le Bouc Émissaire est une autre forme d’évacuation de la culpabilité collective, qui causait défaites, sécheresses ou inondations.

La transmission rituelle et la rationalisation du « message de Jésus de Nazareth » s’élaborent selon l’attente et le contexte religieux. « Dieu sacrifie son fils » dans un holocauste symbolique à répéter, pour expier le fait que nous l’avons laissé aux mains des Romains et du Sanhédrin. Ces derniers ont accompli le rituel sous la conduite divine5. Ou nous l’avons sacrifié porteur de tous nos péchés comme le bouc émissaire mort à notre place « Crucifie,crucifie !» crie la foule.

L’apocalypse dira que nous avons été « lavé par son sang ». Les ménagères ne comprennent pas, mais elles ne sont pas théologiennes. C’est une autre collision entre le symbole et le réalisme.

« Aletheia »  écrit « Contrairement aux catholiques, les protestants ne croient pas que le baptême est efficace par lui-même, mais estiment qu’il doit être associé à la foi ».

Ce sont les mêmes remarques que pour l’eucharistie/Cène : Ce n’est pas le symbole/sacrement qui fait « foi » mais ce à quoi il renvoie. Pour le baptême des enfants, ce sont les parents qui y accordent de l’importance. Pour le baptême d’un adulte qui en fait la demande, cela lui permet de manifester ce qui lui tient à cœur : Il recevra en public le soutien de sa communauté, une autre manière de bénéficier de « l’aide du Saint Esprit », quelles que soient ses convictions.

Pour les autres « différences » du site dogmatique romain: « Purgatoire », « prière des saints » et « Vierge Marie », je rappellerai qu’en son temps et dans le contexte spirituel et culturel de l’élaboration des dogmes, il s’agissait de convertir une mythologie ethnique polymorphe, marquée par les traditions animiste et gréco-romaines, les traditions gnostiques à mystères, les mythes celtiques et germaniques de la terre mère etc. Et pour christianiser ces traditions, il était indispensable d’en inclure ce qui était possible dans les manifestations publiques et assimilables par les fidèles de l’époque.

Parfois cela n’a pas marché, l’exemple le plus connu se trouve dans le Livre des Actes : Paul devant les philosophes d’Athènes :

Paul, est un juif élevé dans la plus pure tradition pharisienne. Il ne connaissait que très mal les mythologies grecques. Les relations que les grecs entretenaient avec les rituels religieux étaient très divers. Paul évoque devant l’Aréopage « l’Autel dédié à un dieu inconnu » rencontré dans une rue d’Athènes. Il dit qu’il vient en son nom, et parle de son fils sacrifié sur la croix et ressuscité des morts…

Les philosophes rigolent, et le renvoient à ses croyances absurdes… C’est que les philosophes d’Athènes ne « croyaient » pas à leurs cosmogonies comme l’expression d’une vérité divine. Pour eux c’était des mythes qui permettaient de comprendre la réalité de la vie quotidienne et les relations humaines ou sociales. Les affrontements entre les peuples dépendaient de la compréhension qu’on avait des interactions entre les dieux et leurs alliés. Peut-être qu’une analyse de leurs aventures permettrait de savoir quelle politique adopter pour s’entendre ou pour vaincre.

Paul partira pour Corinthe. Il y restera 3 ans pour « faire ses classes » en culture gréco-romaine et adapter son discours, pour continuer son ministère et organiser le message de Jésus de Nazareth pour le rendre compréhensible au monde qu’il parcourait.

Plus haut j’utilisais le « Petit Chaperon Rouge » comme exemple de mythe auquel il n’est pas nécessaire de « croire » pour en percevoir la pertinence.

Il y a des mythes qui sont devenus extrêmement dangereux : L’existence des Aryens ancêtres de l’Allemagne rappelés par les nazis. Leurs références ont été érigées en dogmes qui ont conduit à la guerre la plus perverse du 20e siècle. C’était absurde, mais un peuple entier y a cru – certains y croient encore.

Quand les textes deviennent des « objets de cultes » et ne sont plus des objets du culte, il est nécessaire de se poser la question de leurs statuts, et réciproquement de celui des pratiquants qui s’y réfèrent : Il faut remonter à la période de l’Empire byzantin dite aussi « querelle iconoclaste » ou « Querelle des images », qui s’étend de 726 à 843. Elle a eu une redondance au moment de la réforme il y a 500 ans, et ce sont les mêmes arguments qui se sont affrontés – et parfois s’affrontent encore aujourd’hui6.

En résumé : Les statues et icônes devant lesquelles on se prosterne et qui sont objet de dévotions sont-elles « performantes » pour le salut de vos âmes ? Si la réponse est « oui » vous êtes idolâtres, et vous prenez ces objets pour une Divinité, comme on prenait par exemple l’empereur romain, avec droit de vie ou de mort… dans les arènes !

Si vous répondez « non » il faut alors en expliquer la présence dans les lieux de cultes.

Si leurs présences aident au salut de votre âme, qu’elles y restent, sinon qu’elles passent à la prochaine brocante – dans le meilleur des cas – ou au dépotoir de l’histoire.

Là il s’agit aussi de la relation avec les « saints », comme il y a une relation avec les ancêtres dans les religions animistes.

Les théologiens, pour justifier la présence de ces objets – et les investissements consentis pour les faire – ont expliqué que les images/statues n’étaient pas des objets de dévotions, mais un symbole de ce qu’ils représentent et vers qui s’orientent nos prières7.

On ne prie pas la statue de la « vierge noire », qui fut autrefois la déesse mère locale, mais on s’adresse à Marie, mère de Dieu, pour qu’elle intercède pour nous auprès de son fils etc…

On ne prie pas la statue de St François, mais on prie pour les pauvres, comme il l’a fait en son temps. Hélas, chassez le naturel, il revient au galop, la statue de la vierge à Medjugorge est plus efficace que celle de Lourdes ou de Fatima, on ne peut pas lutter contre 5000 ans de culture magique.

L’organisation et le management social nous vient de loin : L’autorité du Chef/Pape !

Peut-être est-ce en rapport avec«  la société ecclésiastique » et touche à l’autorité du Pape. Il faut rappeler que la structure de l’Eglise a été adaptée/héritée de l’empire romain et de la « vénération impériale ». Si le pape est le « Vicaire du Christ » il a succédé à l’empereur « Symbole Divin » dans l’Empire Romain, voir « incarnation de la divinité » … Toutes ces notions se sont intégrées dans le christianisme naissant, mais pas seulement.

Probablement depuis l’époque patriarcale8 le « Chef/Mâle Alpha » a la responsabilité de la troupe/meute. Pour obtenir une faveur, il convient de lui montrer son allégeance. Le cercle des ses proches est organisé par « népotisme »9 ou « achat des charges »10.

Avoir accès à l’un des proches permet de bénéficier de la bienveillance de son supérieur, voir de celui qui exerce la souveraineté, de recevoir des privilèges plus rapidement, d’obtenir des charges ou des responsabilités rémunératrices.

Dans une perspective eschatologique, les morts sont déjà proches de la zone divine. Si au cours de leurs vies, ils ont été des privilégiés par leurs relations spirituelles avec le « divin supérieur » qui est reflété par la structure humaine – l’Eglise – ils sont les intermédiaires qu’il faut actionner pour exaucer nos prières. Comme il convient de s’adresser au cousin du chef de clan, à sa mère, à l’un de ses héritiers dans le système de la mafia … et de bien des gouvernements de la planète où cela s’appelle « corruption »11. C’est pourtant un mode de fonctionnement rationnel, longuement expérimenté dans les royaumes féodaux, parce qu’il est « relationnel », quand il n’aboutit pas à des « abus de biens sociaux » bien sûr.

Concrètement, disons que toutes les sociétés et associations ont le droit de s’organiser comme elles le souhaitent, et de vivre sous des règlements qui permettent l’accueil ou l’exclusion des membres qui ne correspondent pas à leurs attentes. Les « excommunications » font partie du « jeu ». Il n’y a pas de différence entre catholiques et réformés, surtout en cas de sanctions pénales.

Pour revenir au propos initial de cet article, soit les différences entre les chrétiens évangéliques, les protestants (libéraux, comme on en parlait au siècle dernier) et les Catholiques Romains, elles sont réelles mais relèvent, si elles sont clivantes, de l’idolâtrie animiste ou tribale :

Si vous croyez que l’observation de la lettre des textes justifie vos comportement, vous tombez sous le jugement de Jésus de Nazareth sur « les scribes et les pharisiens » – c’est pas moi qui le dit, mais le texte (oups !). C’est aussi valable pour le Coran.

Si la croyance dans les vérités dogmatiques est plus importante que la signification qu’elles portent, vous êtes dans la performance de la magie, mais pas dans l’essence du christianisme.

Si vous pensez que les rituels sont nécessaires et suffisants pour assurer le salut de votre âme, vous êtes comme les fidèles de la Diane du Temple d’Éphèse, mais c’est votre choix, et pas celui de l’apôtre Paul.

Ce qui distingue les chrétiens, c’est leur attachement aux principes fondamentaux rappelés par Jésus de Nazareth : la charité et l’amour partagé, un résumé des Dix Paroles de Moïse.

Cependant il y a une limite à ne pas franchir non plus : « Ne jugez pas, si vous ne voulez pas être jugés » « Aimez-vous les uns les autres ».

Vous pouvez croire à l’horaire des transports publics, cela simplifiera vos déplacements, mais vous ne risquerez pas votre vie en doutant de leur exactitude.

Si pour votre compréhension du monde et de votre vie, vous avez besoin de croire à l’intercession de la Vierge Marie, que ce soit à Medjugorge, Lourdes ou Fatima, c’est votre conscience et Dieu vous reconnaîtra parmi les siens.

Si vous pensez que la célébration de l’eucharistie et votre communion est « au corps et au sang du Christ », soyez les bienvenus dans l’église universelle.

Si vos cierges plantés dans le sable devant l’icône de St Jean Chrisostome dans une chapelle latérale de Tinos peuvent vous aider à trouver les mots pour me contredire, que le Saint vous soit en aide.

En toutes choses, rappelez vous que les récits, les dogmes, les encycliques, les proclamations de toutes les religions répondent à des impératifs contextuels, historiques ou organisationnels et s’ils sont resitués correctement, ils prennent un sens auquel on peut adhérer, en sachant qu’ils ne sont pas « Vérité Divine » mais seulement une trace de l’indicible. Car on ne peut rien dire ou écrire de Dieu,

comme le rappellent les sages juifs du Talmud… qui nous ont libérés de l’idolâtrie en libérant Dieu de nos définitions : Ce qui est défini est « limité », et nous sommes tous persuadés que Dieu ne l’est pas.

Mais si un ecclésiastique de quelque religion que ce soit vous demande de l’argent pour assurer votre salut, fuyez, et adressez vous à un psychanalyste, vous serez remboursés par l’assurance maladie, ce sera toujours cela de gagné !

Bernard van Baalen 31 10 2017

1Des divergences théologiques choquantes Réponse à l’article du numéro de septembre consacré à la nouvelle filière de formation HET-PRO. Votre texte fait bien ressortir l’opposition qu’il y a entre l’approche « libérale » des textes bibliques (de l’EERV) et la conviction des « évangéliques » fondée sur ces mêmes textes […]. En ne souscrivant pas sans réserve aux convictions évangéliques, c’est aux dogmes fondamentaux qui fondent notre foi chrétienne que vous vous en prenez. S’il n’y a plus naissance miraculeuse de Jésus, ni incarnation, ni résurrection, que reste-t-il de la notion même d’Église ? Elle s’effondre, tout comme s’effondre l’espérance chrétienne du royaume éternel à venir […]. Georges Dufour, Saint-Légier Journal « Réformés » novembre 2017

2 Cujus regio, ejus religio  « À chaque région sa religion »est une maxime latine soulignant le principe politique, défendu au 16e siècle, suivant lequel la religion d’un peuple, à l’époque nécessairement celle de son souverain, pouvait différer selon l’État dans lequel on vivait

3 Les femmes palestiniennes sont fières de la mort de leurs enfants en martyrs, ce qui ne manque pas de nous interroger sur l’humanité.

4La « performance » ou le fait d’accomplir un rituel qui porte en lui une efficacité.

5« C’est pas nous, ce sont les juifs, on n’est pas responsables, Dieu l’a voulu » Nous savons où cela conduit !

6 j’attends « Aletheia » sur ce point !

Une forme de « channelling » pour prendre un concept plus actuel.

8 même dans les cavernes et pas seulement au Moyen Orient .

9Les proches de la famille ou de la tribu

10Par alliance économiques ou mariages

11Chez les américains autour de Trump, les russes autour de Poutine, etc.